B0d6YDrCUAAvUX4Il est tout simplement impossible de parler de thé sans mentionner les wagashi (patisseries traditionnelles japonaises).  Ils sont en effet inséparables.  Toute fois, il ne s’agit pas à  proprement parler d’un assortiment. Les wagashi qui sont servis à l’occasion de la cérémonie du thé au Japon sont proposés en dessert apres le repas kaiseki (forme traditionnelle de repas gastronomique compose de plusieur petit plats) , juste avant de boire le thé. 

Un regard sur l’histoire des wagashi nous révèle que a62ff4c1909d63c15f8672916acb3aed1dans les temps anciens les japonais confectionnaient des pâtisseries à partir de noix et de graines réduites en poudre, qui était alors pétrie en forme de boulettes qui étqient ensuite cuites dans le feu ou des mochi,  du riz à la vapeur passé au mortier. Par la suite, l’introduction des togashi, pâtisseries originaires de Chine confectionées à partir de poudre de riz, de blé ou légumineuses, frites dans l’huile, et des pârosseroes d’origine portugaise et espagnole, connues sous le no, de nanbangashi,  notamment le bolo et le castella, qui sont cuits au four, ainsi que les konpeito, influença et inspira les Japonais qui commencèrent alors à créer leurs propres pâtisseries.

Finalement, c’est avec la généralisation du sucre, ダウンロードà la période Edo, que les wagashi concurrent un développment fulgurant. Des wagashi plus créatifs les uns que les autres en termes gustatif et visuel apparurent de chaque région du Japon, comme si elles rivalisaient entre elles. La majorité des wagashi appréciés de nos jours remonte à la période Edo.

slideshow_img1Les wagashi sont du mode d’expression du charme particulier des quatre saisons. Par exemples, il existe différentes sortes de kinton (petit gâteau fait à partir  d’une purée de légumineuses), chaqune portant un nom exprimant les différentes saisons. Le kinton vert parsemé de rose appelé Haru-noyama (montagne au printemps) évoque les pétales des cerisiers qui s’éparpillent, alors que le kinton jaune et rouge fait allusion aux feuilles d’automnes, d’où son nom, kinshu (un terme réservé aux trés belles feuilles automnales). Même so ces kinton ont le même goût, ils experiment pqr leur coloris et leur apparence les images des saisons dont sont imprégnés Japonais.

Cependant, lors de la cérémonie du thé, en général les invités5 ne connaissent pas le no, des pâtisseries qu’ils dégustent.Ce n’est qu’après avoir fini de boire le thé que leur hôte les renseignera. La plupart des noms de ces pâtisseries proviennent de poèmes, de waka ou de haiku, de termes appelés kachofugetsu ( décrivant de magnifiques paysages naturels ou le raffinement artistique qui les met en valeur) de l’histoire, ou de lieux des régions. Une fois que le nom de la pâtisserie a été révélé, les invités prennent plaisir à méditer sur la scène et la signification du no, de la pâtisserie qu’ils viennent juste d’apprécier.